Question:
Guerir le sida en soignant son alimentation (3 cas prouvé)?
2008-07-01 16:06:51 UTC
La nature a tout ce qu’il faut pour nettoyer le terrain humoral. Le terrain humoral dans notre organisme est l’ensemble des liquides qui circulent dans notre corps, notamment le sang, la lymphe et le liquide interstitiel qu’on appelle aussi le sérum. Seule une bonne alimentation, c’est -à- dire, celle qui est adaptée à notre organisme, peut nettoyer ce terrain humoral.

integralité ici :
http://www.linter-ci.com/article.php3?id_article=5981
Onze réponses:
Pmolik
2008-07-01 16:30:30 UTC
Ce dr machin (si on peut appelé sa un docteur) plus qu'un ignard et un charlatan est un pauvre con .

Celui qui à le Sida en meurt c'est inexorable même si la maladie proprement dite peut mettre plus ou moin de temps à se déclaré et si on peut gràce à la médecine repoussé l'échéance.

Le soigné par les plantes...Mon cul....Ya que la capote qui empeche sa prolifération et seulement elle...
2008-07-01 16:20:45 UTC
terrible désinformation, ce site donné en lien devrait être signalé et immédiatement fermé. Dire que le sida est transmis par les antibiotiques et autres "dopants" et qu'il est possible d'obtenir la conversion séropositif en séronégatif par un simple régime alimentaire est purement et simplement criminel. Aucune séroconversion n'est actuellement possible, y compris avec les traitements les plus efficaces.



abus signalé

il s'agit d'une escroquerie gravissime
What ?
2008-07-01 16:11:54 UTC
Mets des capotes et fous nous la paix !!!
NK
2008-07-01 16:25:48 UTC
Et par la prière, t'as essayé aussi ?



Sinon, dans certains pays d'Afrique, une tradition dit qu'il faut se purifier dans une vierge.



Aaaaah... les traditions.
zagabouet
2008-07-02 04:01:41 UTC
Pour un sujet aussi grave, je vais essayer de passer en revue les arguments relevés dans le lien et dans les réponses ci-dessus pour vous donner une information la plus précise possible.



Le Dr interviewé nous dit que les animaux, qui mangent selon leur bol alimentaire naturel, sont toujours en bonne santé. Ceci est faux. Les animaux peuvent tout à fait mourir d'infection (la grippe aviaire, par exemple, ne ressemble pas à un déséquilibre alimentaire...) ou de maladie métabolique, hormonale, de dégénérescence liée à l'âge... Le fait est qu'ils meurent beaucoup plus rapidement que des humains soutenus par un système de santé efficace, et qu'on en rencontre donc moins souvent.

Le fait qu'Hippocrate ait dit la phrase citée il y a 2000 ans n'est pas plus une vérité scientifique que les déclarations de médecins moyénageux qui attribuaient les maladies aux humeurs.



Il prétend ensuite que toute maladie symptômatique est une réaction du corps pour corriger un déséquilibre dû à l'alimentation et que vous empêchons ce processus en prenant des médicaments, entrainant la persistance ou l'aggravation de l'anomalie.

Si on compare simplement les taux de mortalité lié aux infections avant et après l'invention de la pénicilline, le nombre de décès dus à la variole avant et après la démocratisation de la vaccination, on est en droit de penser que les médicaments ont tout de même une action plutôt bénéfique, qu'ils n'entretiennent pas les maux, mais au contraire augmentent la proportion de gens qui en guérissent.



Il prétend que la nature s'organise d'elle même pour guérir les maladies. Parfait! Observont vingt patients en train de faire un infarctus, ou une septicémie. Dix reçoivent un traitement et dix attendent que la nature fasse son oeuvre. Je vous laisse deviner quels seront les résultats de l'expérience et quel groupe aura le meilleur taux de survie.



Il parle de symptômes douloureux ou gênants comme des réactions nécessaires qu'il ne faut pas contrer. La médecine avait encore jusqu'à récemment une telle vision, probablement issue d'une notion de pénitence nécessaire héritée du christianisme. Certaines réticences arguent encore que la douleur aide au diagnostic. On s'est aperçu que cette douleur est absolument inutile et doit être soulagée s'il se peut. Pour les lombalgies, par exemple, il a même été démontré qu'un bon contrôle de la douleur permet de diminuer notablement les risques qu'elles évoluent vers la chronicité et deviennent permanentes. Le contrôle de la douleur fait donc parfois partie du traitement de la maladie elle-même. Le diagnostic est en général possible, soit par d'autre moyens, soit par l'évaluation de la douleur résiduelle, soit en interrogeant simplement le patient.

Il n'y a donc aucune obligation à souffrir pour guérir. Il ne faut évidemment pas effectuer uniquement le contrôle de la douleur et négliger ce symptôme d'appel d'une possible pathologie sous-jacente, comme l'illustre l'exemple proposé.



Suit un exemple aussi parlant que ceux qu'on peut trouver dans les pubs pour régimes. Un exemple isolé ne permet jamais de conclure à une règle. Pour vous en convaincre, essayez d'oubliez ce que vous savez sur les pièces de monaie, tirez en une fois une en l'air et essayez sur un seul résultat d'en tirer une conlusion sur la chance de tomber sur pile ou face. Vous ne pourrez tirer cette conlusion qu'après un grand nombre d'essais.

Vous ne pouvez pas non plus tirer une conclusion si vous avez vu un grand nombre de fois la pièce tomber sur pile et que vous ne connaissez pas le nombre total de lancers.



Il énumère ensuite une liste d'arguments absolument érronés sur le mode d'action, les effets secondaires et le manque d'efficacité de médicaments et particulièrement de vaccins. Ce n'est pas un régime alimentaire mondial qui a permis l'éradication de la variole de la surface du globe. Ce n'est pas non plus pour rien que la Suisse, à la couverture vaccinale insuffisante en terme de rougeole (honte à nous) est un des rares pays d'Europe à connaitre fréquemment des épidémies de ce virus. L'efficacité et la relative nocivité des vaccins est connue et évaluée depuis une longue période et sur une immense population, puisque presque tout le monde est vacciné. Le bénéfice en terme de santé de nombreux vaccins est donc prouvé de manière particulièrement solide!



Pour terminer, il propose l'exemple de cas qu'il a traité par ces méthodes et sont devenus séronégatifs. Il serait intéressant de savoir par quel moyen le diagnostic a été posé, puis exclu. Dans une région où le seul traitement du VIH est une prophylaxie antibiotique avec celui qu'on a sous la main, on peut se demander si des tests plus spécifiques que le test de dépistage a été effectué, car ce dernier peut être faussement positif, et de quelle façon ils ont été réalisés.



Pour répondre aux intervention précédentes, enfin, il faut tout d'abord savoir qu'on peut actuellement ne plus mourrir du VIH, puisqu'on arrive à ralentir l'évolution de l'infection à tel point qu'on observe maintenant des malades âgés, séropositifs, peu symptômatiques et dont la vie n'est pas encore en danger, et qui mourront probablement de vieillesse. La trithérapie comporte cependant de nombeux effets secondaire et n'est pas une alterative acceptable au préservatif.



La trithérapie signifie simplement une traitement par trois médicaments, qu'on peut retrouver dans différentes maladies. Dans le cas du VIH, il s'agit d'antiviraux, qui agissent sur la multiplication et l'attachement du virus et non de corticoides, qui agissent notamment sur le système immunitaire.

Alain apporte cependant un élément intéressant dans son premier point: les tests sont parfois faussement positifs et les "malades" soignés n'étaient peut être pas séropositifs à la base, mais simplement victimes d'un test trop sensible. C'est pourquoi un test plus spécifique est nécessaire.

En revanche, il ne connait manifestement pas le mécanisme des test. Les antibiotiques détruisent des bactéries, s'il y en a. Le test de dépistage détecte des anticorps.

Les théories concernant les concentrations ne tiennent pas compte non plus de l'adaptation physiologique du corps à ces flux d'eau.
Alain1
2008-07-02 01:44:22 UTC
Le gars du site a globalement raison. Mais ses connaissances sont incomplètes.



Il y a pas mal de pièges tendus par la médecine qui font que les choses ne sont pas aussi simples. Par exemple, les trithérapies, qui sont vendues comme des traitements super high-tech, sont en fait de simples corticoides. Il n'y a qu'à voir les effets à la prise comme à l'arrêt, ce sont les mêmes.



Or, si on arrête brutalement un traitement à base de cortisone (un corticoide donc), on subit des effets en retour assez pénibles. Et, c'est la même chose quand on arrête une trithérapie (perte de poids, d'énergie, éventuellement rash cutané sur les mains, etc...). Et ces effets en retour vont être pris pour le déclenchement du sida. Spécialement certains d'entre eux. Par exemple, la personne peut parfois se mettre à avoir une toux sèche. Comme en plus, elle va la plupart du temps subir une perte de poids, les médecins vont interpréter ça comme une tuberculose ou une pneumonie. Et donc, ils vont être quasi sur qu'il s'agit d'un retour du sida, alors que ce n'est qu'un effet de l'arrêt brutal des médicaments.



Donc, il ne suffit pas de manger bien. La médecine a plus d'un tour dans son sac pour empêcher le séropositif d'arrêter ses traitements et pour lui faire croire que sans eux, il va mourir.



Sinon, les trois différents cas sont effectivement logiques.



1) Les séropositifs qui n'avaient pas pris de traitment sont redevenus séronégatifs parce que les tests sont conçus pour réagir positif seulement 3 % du temps. Et les conditions qui amènent à la réaction positive sont rares et la plupart du temps temporaires. Donc, quasiment tout le monde redevient négatif quand on refait le test au bout de quelques mois. Si les gens ne s'aperçoivent pas de ça, c'est que comme ils prennent les tests comme paroles d'évangiles, ils ne les refont pas.



2) Les séropositifs qui prenaient des antibiotiques ont été obligés de les arrêter parce que les antibiotiques provoquent une explosion de débris cellulaires. Or, c'est ça que mesurent les tests en réalité. Donc, tant qu'on prend des antibiotiques, bonne alimentation ou pas, on réagit positif au test vih. Donc, pour arrêter de réagir positif, il faut arrêter de prendre des antibiotiques. Une bonne alimentation ne peut être d'aucune aide dans ce cas là.



3) Les personnes qui prenaient des antirétroviraux sont redevenus négatives parce que ceux-ci sont en fait des corticoides. Le même résultat aurait été obtenu avec de la simple cortisone. Ce qui se passe, c'est que l'eau est retenue dans le centre du corps. Donc, le sang des bras contient moins d'eau. Il est plus concentré. Ce qui fait que les débris cellulaires s'agrègent entre eux. 10 petits débris cellulaires vont devenir 1 seul gros débris. Et comme c'est la quantité de débris cellulaires qui est mesurée, et que la prise de sang se fait dans le bras, le test se met à réagir négatif. Mais si la personne arrête brutalement de prendre la trithérapie, c'est l'effet inverse qui se produit (beaucoup d'eau dans les bras). Et du coup, la personne risque fort de redevenir positif (parce que les débris ne vont pas s'agréger entre eux et vont donc rester aussi nombreux). Par contre, au bout de quelques mois, une fois que la cortisolémie sera redevenue plus ou moins normale, la personne testera négatif. Donc, ici encore, l'alimentation n'a rien à voir. Dans ce cas, tout est lié à la prise ou l'arrêt de médicaments de type corticoide.



Sinon, pour la suite des questions, en fait le vih n'existe pas. Les 2 expériences d'isolement du virus (1983 et 1997), sont foireuses. Dans la première, on n'a même pas fait de purification (alors que c'est obligatoire). Et dans la deuxième, la purification n'a donné qu'une soupe de particules et la culture de controle a réagi aux mêmes particules que la culture dite "virale" (or, il faut justement qu'elle ne réagisse pas à ces particules).



Donc, ces questions n'ont pas d'objet. Les trucs pour tuer le vih ne servent à rien tout simplement parce qu'il n'y a pas de vih.



Voir le site sidasante.com et son forum pour plus de détails.



PS : par rapport au message suivant de zagaboue, où il dit :



"En revanche, il ne connait manifestement pas le mécanisme des test. Les antibiotiques détruisent des bactéries, s'il y en a. Le test de dépistage détecte des anticorps"



Apparemment, ce que je dis est tellement nouveau pour lui que la seule possibilité pour lui est que je ne comprends pas ce que mesurent les tests. Mais non. Je sais très bien ce que mesurent les tests officiellement (les anticorps, ou alors les antigènes). Mais je remets en cause cette version des choses. Et je dis que ce que mesurent les tests en réalité, c'est uniquement la quantité de particules présentes dans le sang. Donc, pour moi, ces tests n'ont aucune spécificité. Ils ne sont pas capable de détecter tel anticorps en particulier, ni même seulement les anticorps. Ils se collent à tout ce qui passe.



C'est pour ça que les antibiotiques font réagir les tests. Comme ils détruisent les cellules et les débris qu'ils rencontrent, ils font exploser la quantité de débris dans le sang. Et du coup, comme c'est ce que les tests détectent en réalité (la quantité de particules), ils réagissent positifs.
helmana1 Collectif Palestine92
2008-07-01 23:23:03 UTC
NE COLPORTEZ PAS DE FAUSSES NOUVELLES .....



Pour l'instant, rien ne peut GUERIR le vih......



On peut vivre avec ..beaucoup plus longtemps ....quelques



très bons médicaments reculent la mort ..longtemps....
2008-07-01 16:47:43 UTC
oui c'est ça .....le sida , guérit par la consommation de certains aliments????? t'es fou
Petit fute
2008-07-01 16:36:52 UTC
Non, désolé; pas d'accord. On ne peut pas dire n'importe quoi.
Feuilleabc
2008-07-01 16:29:26 UTC
Bien sûr...



C'est racoleur. Dangereux. Méprisant pour les malades.



Il faut arrêter les fantasmes. Après tout, rappelez-vous, cette maladie ne contamine que les homosexuels. Au point où nous en sommes dans l'envie des uns et des autres de se rassurer par une solution faussée mais qui semble facile...



Punaise !
?
2015-12-03 14:37:28 UTC
ils sont depassés vraiment et ne savent comment eradiquer le fantome du vih;


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